VOTRE HISTOIRE ”
Cette histoire... cette histoire qui ma tellement détruit mon enfance. Toutes ces années de torture et de souffrance...Enfin... Quand j'étais petite, ma mère m'a toujours détesté... Pourquoi? J'en es aucune idée. Peut-être à cause de son passé? Peut-être à cause de son enfance ?... Elle ne me la jamais dit. Je me
souviens, je ne possédais pas encore 2 ans, j'étais assise dans ma chaise haute regardant la neige tomber. Dehors se trouvait une voiture noire, deux hommes se trouvaient là attendant mon père pour aller travailler à la ferme. Devant moi se tenait mon frère Ernesto, à peine plus âgé que moi vu que seulement 11 mois de différence nous séparait. Ma mère, préparent le déjeuner, s'engueulait avec mon père, qui commençait à s'habiller pour aller travailler. Le ton de leur voix, commença à être de plus en plus fort. Moi, qui commençait à avoir peur, je chignais silencieusement jusqu à temps que mon père sans alla. Une énorme peur se leva, la peur de rester seule avec ma mère. Mendie, ma mère, continua de gueulé après mon père qui était déjà à l'extérieur. Je pleurais donc plus fort pour montrer à mon père que je voulais qu'il reste ici pour me protéger contre la colère de ma mère. Celle-ci se retourna vert moi brusquement me disant de la fermer. Je continuais donc a pleuré, essayant de m'arrêter difficilement. Elle Déposa devant moi, brusquement, un bol de gruau et une toast grillé. Elle me dit dune voix forte
:
-Ferm* ta grande gueu** et bou**e tout suite!
J'essayai de prendre une bouché, par peur de ma mère, je vomie à cause du stress et de la peur qui m'envahissait. Elle s'approcha furieusement proche de moi, me prenant les joues avec ses mains, me rentra ses ongles dans la peau, pour ensuite me foutre la cuillère remplit de gruau et de vomis dans la bouche. Je vomis une seconde fois dans mon assiette. Ma mère me prit furieusement par les bras menstruation dans ma chambre et m'enferma là. Toujours en sanglot, je pleurai dans mon lit . Je commençai à dormir, jusqu'à temps que j'entendis ma mère montée. Je ne comprenais pas... j'avais pour temps arrêter de pleurer! Elle me prit par le bras, me mit devant l'escalier et me poussa brusquement dans les marches. Et ensuite plus rien. Depuis toute mon enfance j'ai été battue pour simplement satisfaire le besoin de battre de ma mère. Bien sur, mon père ne savait jamais ce qu'il se passait à la maison. Mes frères et soeurs terroriser par les coups de fer, de lavette mouillée, les règles et tout ne disait rien par peur de se faire battre à leur tour.
À 4 ans, je me souviens que je regardais mon frère et ma soeur jouait dans le sable. Évidemment
je n'avais que le droit de jouer avec eux sous la permission de ma mère et deviner quoi, je n'avais pas le droit d'y aller. Mon père nous cria de venir manger, moi je les regardais courir et j'attendis
la permission de ma mère pour venir à l'intérieur. Elle sortit dehors frustré et me prit par le bras rentrant ses ongles dans ma peau pour ensuite serrer jusqu à temps que je ne sente plus mon bras.
-Tu n'a pas compris ton père petite cali**. Tu vas en manger une par ton père ou sinon une grosse volé par moi!
Rendu à l'intérieur je voyais mon père frustré. Essaya de manger, mais la peur qui m'envahissait pour la volée après le soupé, je vomis soudainement tout ce que je mangeais. Mon père commença à s'engueuler avec ma mère. Il prit soudainement les patates bouillante dans une casserole et le les lançant dans la figure. Mon visage me brûlait. Je pleurais pour ensuite me réfugier dans les escaliers. L'engueulade reprit. Je restais là attendant la fin de cette engueulade. J'entendis les pas de mon père
se diriger vert moi. Il me regarda le visage et me désinfecta mes blessures.
-Ta mère est une espèce de fo**e. Désolé je ne savais pas ce que je faisais.
Et c'est comme ça que se finit la soirée. Rendu a l'heure du dodo, nous allons tous faire un baisé a notre mère, j'y alla , mais elle m'arrêta.
-Toi! T'en aura pas! Je ne t'aime pas, alors va dormir.
Sa continua comme cela, chaque jour où mon père partit travaillé, ma mère me battait. Je vomissais peur d'elle à chaque jour. Mon père travaillait jusqu'à 5heures du soir et quelquefois vert 10 ou même 11 heures. C'est moi qui amena le souper à mon père. Il remarqua mes blessures, mais ma mère lui disait plein de mensonge sur moi. Et il était aussi fou pour la croire... tout comme ma mère qui
était complètement folle. Vert mes 12 ans, ma mère revint avec un autre homme. Un « ami » quelle disait... moi je pensais plus un remplaçant de mon père... Enfin. Après quelque mois, mes parents se séparant... et nous envoya chez mon oncle.
Une fois dans la cette petite ville pauvre appeler Queen, son oncle devrait aller aidé des gens la-bas comme a chaque année, Amber rencontra un garçon de son âge appeler Taylor. Il était gentil et énormément drôle. Ils était devenu si proche que quand fut le temps de partir elle lui promit de revenir le voir bientôt.
À l'école je me faisais appeler * le vilain petit canard * parce que j'étais habillée différemment que les autres et j'étais bizarre. Revenant de chez ma tante après un long été, j'avais complètement changé, j'étais rendue magnifique, une vraie beauté. Ma mère se demandait qu'est-ce qui était arrivé à sa fille. Je pensais que tout allait changer... mais je m'étais trompé... Ma mère était complètement jalouse de ma beauté, ce que j'étais devenue. Mon beau-père me demanda, une fois, de l'aider à ranger des outils qu'il avait sortit. Peur de se qui pouvait faire, se restait jamais devant lui. Nous partons vert l'arrière, pour ensuite rentrer dans le cabanon... je n'aurais jamais du rentrer là. Barrant la porte, il me prit par l'arrière, me bouchant les lèvres de ses mains pour m'empêcher de crier. J'essayais de me débattre, mais cela ne marchait pas. Il me colla à son corps, ses mains me toucha de partout. Il me toucha les seins, laissa passer une respiration d'excitation. Je laissais des larmes coulées, mais il continua de me toucher jusqu à temps qu'il arrive à la jupe. Arthur passa sa main dans mes collant, il déposa sa main entre mes jambes. J'essayais de hurler, mais celui-la ria par-dessus ma peur... ma peur de lui. Il me bloqua les jambes pour ensuite me retourner de l'autre côté, il détacha son pantalon pour ensuite me plaquer au mur, j'essaya de partit mais il était trop puissant... trop fort pour moi... et c'est là que tout arriva... il me viola.
Bien sur... je n'aie absolument rien dit à ma mère... Celle-ci allait me rire au visage me disant que j'étais seulement jalouse ou que je voulais me montrer intéressante. Arthure me prit par après, la scène déroulée dans le cabanon, sa petite prisonnière. à chaque fois qu'il me demandait quelque chose, il me regarda avec un regard pervers. Je n'avais jamais vu un homme aussi dégoûtant que lui. Mais le pire dans tout ça, c'est quand ma mère partit a l'hôpital pendant 1 semaine pour accoucher d'un enfant avec ce vieux alcoolique qui l'avait rendu comme lui à son tour. Je peux vous dire que « la » ceinture, je la rencontrais souvent. Cette semaine... je m'en rappellerais toute ma vie... cette semaine avait été complètement dégoûtante. Mes deux petites soeurs, Nathalie âgé de 8 ans, Stéphanie âgée de 6 ans et mon petit frère Danie âgé de 5 ans, avait été obligé, toujours avec des menaces de « la » ceinture, de faire plaisir à notre beau-père. En gros il les obligeait a faire des choses que même moi je ne faisais pas... Il leur demandant de caresser, toucher et autre truc... Et aussi il me reprit. Pendant que j'allais faire endormie les enfants, celui-ci m'attendait de l'autre côté de la porte... Bien sur je ne le savais pas... Fermant la porte derrière moi, je me sentie agripper.
Il me prit par un bras pour aussitôt me coincé entre lui et le mur. Il essaya de m'embrasser, mais je tournais toujours le visage serrant mes lèvres tout en me débattant. D'une main ferme, il me pinça le coup. Je le suppliais d'arrêter, mais il me dit seulement à une seule condition... J'avais peur... peur de ce qu'il pouvait dire... Il me dit, de lui faire plaisir. Je refusais... mais il détacha « sa » ceinture et il me la montra. Terrorisé, je n'eus aucun choix que lui obéir.Quand ma mère revint, celle-ci avait l'air mieux. J'eux des semaines de vacances, vu que j'essayais de me faire voir le moins souvent, pour ensuite recommencer l'école. Rentrant à mon école, tous les regards se posa sur moi. Ma tante m'avait acheté de nouveaux vêtements, mon physique complètement changé, les regards des garçons se posait beaucoup sur moi. Enfin, il y avait un bon point, l'école, tout allait à merveille, mais disons qu'à la maison, tout avait reprit son cours normal. Je continuais à être le souffre douleur et le plaisir d'Arthure à ses yeux. Il ne me toucha pas, mais me regardait souvent.
Tout changea juste grâce à une fête de famille. Mes tantes, grand-mères, grand-pères, oncle et tout, son arrivées pour la grande fête de Noël. Toutes mes tantes se souciaient de mes blessures que je n'avais pas put cacher. Une de mes tantes ,qui était spécialisé dans les enfants mal traiter, m'amena avec mon oncle vert l'arrière. Ma mère aillant peur que je papote tout à ma tante regarda par la fenêtre.
-MAeva, je peux te poser une question?
-ou…oui, qu`est-ce qu`il y a?
-Qui ta fait ça ?
Je baissais les yeux… je me tourna vert mon oncle lui disant…
-Mais personne pourquoi cette question?
-Maeva… la vérité! On dira rien, promit
-Et bien, c`est Arthure et mère…
-Depuis quand te font cela?
-Depuis… ma mère depuis mes 2 ans… Mais pas un mot parce que je vais me faire battre encore plus se soir…
-Mais pourquoi te ferais tu battre… tu nous montre les lapins d`Arthure…
Et puis Arthure arriva…
-Qu`est-ce que vous faite?
-Et bien, Amy nous montra tes magnifique lapin à moi et Chantal!
Par après, je fus allée voir le juge... ma mère me disant « si ces à cause de toé, ton trout est déjo creusé à la maison! To tu bien compris tite cri**! » Pendant tout le trajet j'entendis ces mots...
Arrivé là-bas, il m'amena seule, dans une chambre devant tout plein de gens. Je devais raconter tout ce qui se passait à la maison, je disais à propos de la lavette mouillée quelle me frappait avec, la barre de fer quelle me tapait, la ceinture, les violés à propos d'Arthur... Juste à cela, je pleurais. Sortant de là, ceux-là avait parlée à ma mère, elle m'entraîna à l'extérieur par les cheveux tout en m'assistant dans la voiture. Nathalie nous suivis les larmes aux yeux, Arthur avec la ceinture en main. Je n'avais dit que j'allais mourir... que tout était fini... Jusqu'à temps que Chantal arrive accompagné de deux policiers. Elle me laissa sortir et partit tout en sacrant. Dans les dernières nouvelles, Maevar apprit que la dame était décédée, que ses frères et soeurs sont tous morts, cela la bouleversa au plus haut point... pas de sa mère, mais de ses soeurs et de ses frères quelle n'avait pu sauvé...
La nouvelle à bouleversé Maeva qui a totalement tomber dans une sorte de dépression émotionnelle. Suivit par un médecin, cela lui a prit 6 mois avants de retrouvé la forme. Guéris, elle sait lancer dans le domaine de la médecine. Peut-être pour combler le fait qu'elle na rien pu faire pour ces frères et soeurs, mais peut importe. Elle a été envoyer alors a Miraubaen car du personnelle manque à l'hôpital et vu qu'elle était une des meilleurs et la seule à ne pas avoir des obligation familiale, ils l'ont donc envoyer là-bas.
Cela fait bientôt 3 ans quelle y est installer.